Depuis Pasquale Paoli jusqu’à nos jours, le combat nationaliste corse a toujours intégré la vision d’une île au coeur de la Méditerranée et au coeur de l’Europe, carrefour des langues et des identités, pont entr e le nord et le sud de Mare Nostrum. Hè a nostra forza è u nostru destinu di Nazione d’Auropa !
Sur cette photo, à Ponte Novu, le 8 mai, comme une revanche de l’histoire, Gilles Simeoni, européen convaincu, président du Conseil Exécutif de Corse mais aussi président de la Commission des îles de la Conférence des régions périphériques maritimes. François Alfonsi, député européen de 2009 à 2014, président de l’Alliance libre européenne (ALE), qui compte 45 partis nationalistes européens dont nombre d’entre eux gouvernent dans leur pays. Philippe Lamberts, eurodéputé ami de la Corse. Max Simeoni, député européen de 1989 à 1994, un pionnier de l’Europe qui a fait partie des membres fondateurs de l’ALE. Roccu Garoby, fonctionnaire à la commission du Budget du Parlement européen.