Arritti a été réhabilité dans ses droits. Une décision à saluer et qui démontre que seules paient la mobilisation et la solidarité. Le préfet de Corse, Amaury de Saint-Quentin, a signé dès son arrivé un arrêté autorisant notre hebdomadaire à faire paraître de nouveau les annonces légales ou judiciaires en Corse du Sud. Ce qui démontre, s’il était encore besoin, que le précédent arrêté signé par le préfet Lelarge était une décision politique et un abus de pouvoir pour sanctionner l’hebdomadaire et sa ligne éditoriale.
Arritti et ses équipes remercient tous celles et ceux qui l’ont soutenu : confrères médias, partis ou responsables politiques, lecteurs bien sûr et soutiens de toujours. Continuez à nous rester fidèles. Arritti est indispensable au paysage médiatique insulaire, il a toujours œuvré et continue à structurer l’action politique et à porter des initiatives originales qui ont participé à défendre ou à bâtir la société corse, dans les domaines de la langue, de la culture, de l’environnement, de l’économie, de l’action sociale, des institutions.
Merci de tous vos messages de soutiens, merci pour vos dons et pour vos abonnements. Merci pour vos annonces ! Cuntinuate à sustèneci. Forti saremu sè uniti semu ! •
Frà i messagi di sustegnu…
« Veuillez trouver ci-joint un chèque pour abonnement de solidarité, parce que la liberté de la presse, parce que “Charlie”, parce que Lelarge (l’étroit). Bien cordialement ». G.C.
« Chers amis, veuillez envoyer Arritti à mon ami, R.J. Bon courage ! ». G.W.
« Chers amis, en mon nom propre, je tiens à vous exprimer ma solidarité et à partager votre indignation et votre désolation après l’ignoble agression dont Yvan Colonna a été victime dans une prison française. D’autre part, vous trouverez ci-joint un chèque de soutien à Arritti suite au refus de réattribuer le bénéfice des annonces légales prononcé par le préfet ». J.B.
« Eccu un sceccu per un abbunamentu à Arritti. Forza ! ». M-A. R.
« Nous sommes déjà abonnés à Arritti. Voilà un chèque pour trois abonnements supplémentaires pour nos enfants. Bon courage. » L.
« Avete tuttu u mo sustegnu ». D.G.
« Je m’abonne avec plaisir au journal pour une durée d’un an. Amicizia ». L.F.
« Étant abonné moi-même, je vous envoie un chèque pour l’abonnement de mon frère ». G.D.
« Sustegnu à Arritti ! Amicizia ». JP.C.
« Sustegnu è forza. Evviva a Nazione ! ». M.L.